lundi 22 septembre 2014

Pourquoi mon enfant refuse-t-il de manger ?



D'abord, il faut savoir qu'à deux, quatre et six ans, l'enfant passe par une phase d'opposition. Cette phase, bien qu'extrêmement pénible, est nécessaire à son développement et à la construction de son identité. Sachant cela, il nous faut donc trouver quelles astuces à mettre en place pour passer cette étape le plus facilement possible :
  1. donner le bon exemple
  2. accorder plus d'importance à ce qu'il mange, plus qu'à ce qu'il ne mange pas
  3. repas à heure fixe et surtout pas de grignotage entre les repas
  4. proposer à l'enfant de choisir la quantité qu'il va manger
  5. faire participer l'enfant à la préparation du repas
  6. encourager l'enfant et le féliciter quand il mange
  7. humour et imagination dans les assiettes
  8. instaurer des traditions
Et surtout :
  1. pas de récompenses ni de supplications
  2. pas d'attention particulière face au refus
  3. ne pas forcer l'enfant à manger
  4. pas de télévision à table
  5. interdiction de se lever avant la fin du repas
Bon courage et bon appétit !

mardi 17 juin 2014

Comment réseauter efficacement ?


Tout le monde me dit que je dois réseauter, et je lis partout que je dois réseauter. Je comprends les bienfaits pour ma carrière et j'adhère complètement à la manœuvre. Je trouve simplement cocasse d'avoir formalisé quelque chose que l'on est censé faire naturellement. Bien entendu, pas de manière si poussée et orientée business, mais il s'agit seulement et surtout de s'ouvrir aux autres, de se montrer courtois et serviable.

  1. Je m'ouvre au monde - d'abord, je peux simplement sourire. Le sourire a un pouvoir énorme, il est communicatif et bienveillant. Et un sourire amène un bonjour, qui amène à un échange de banalités, qui amène  des présentations, qui amène à un commencement.
  2. La famille et les amis - on en est plus ou moins proche. On pense que c'est acquis jusqu'au jour où on se réveille et qu'on réalise que ça fait des mois qu'on ne s'est pas appelé ou vu. Le temps passe vite, trop vite. On devrait appeler ses proches toutes les semaines.
  3. Les voisins et petits commerçants - ils sont des mines d'informations et de richesse. Ce sont "des fils de" ou "des parents de". Les mépriser est une grosse erreur. Échanger plus de trois mots quand on les rencontre c'est faire preuve d'intelligence.
  4. Les collègues et les anciens - là encore il faut se montrer ingénieux. Certes il faut se rapprocher des individus les plus influents dans l'entreprise, mais l'approche doit se faire autant horizontalement que verticalement (collègues d'autres services, standardistes, service courrier,...). Tout comme l'avenir, on ne sait jamais ce que peuvent nous réserver les gens.
  5. Dans la pratique, par jour :
    • j'appelle un de mes contacts
    • j'envoie un SMS à un autre 
    • je discute avec un inconnu
    • je salue les personnes que je croise
         par semaine :
    • je contacte un proche
    • j'approche dix contacts (nouveaux ou anciens, en direct ou sur les réseaux sociaux)
    • je réserve un ou deux déjeuners à mes contacts
    • je rends un service ou je partage une information utile
    • je distribue une dizaine de cartes de visite
         par mois :
    • je trie mes nouveaux contacts
    • j'envoie un mail de prise de contact plus personnel

Pourquoi si peu de femmes dans les Comités de Direction ?


Seulement 8% de femmes dans les Comités de Direction.

Ce chiffre paraît ridiculement dérisoire alors qu'une étude de McKinsey a confirmé que les entreprises qui ont une présence féminine significative dans leurs Comités de Direction ou dans leurs équipes de management ont de meilleurs ratios financiers que les autres entreprises. Entendons-nous bien, l'intérêt de cette étude n'est pas de prouver que les femmes sont plus compétentes, mais plutôt de démontrer les avantages de la mixité.

Pour aller plus loin, L'édition 2012 de l'Observatoire Skema (créé en 2008 par le Professeur Michel Ferrary, Professeur de management des Ressources Humaines à HEC de l'Université de Genève) sur la féminisation des entreprises a révélé que l'on pouvait classer les grandes entreprises privées françaises en quatre catégories :

  1. les entreprises "féminines" qui comptent dans leur effectif un pourcentage de femmes plus élevé que la moyenne et une population de femmes cadres également plus élevée que la moyenne (BNP Paribas, Publicis, Carrefour, Sodexo,...)
  2. les entreprises "masculines" qui à l'inverse des premières ont un effectif féminin et un taux de femmes cadres inférieur à la moyenne (Renault, Total, Bouygues, Arkema, Dassault,...)
  3. les "amazones" avec un pourcentage de femmes cadres supérieur à la moyenne bien que le taux de femmes soit inférieur à la moyenne (Danone et Illiad)
  4. les "machistes" avec un pourcentage de femmes cadres inférieur à la moyenne et un effectif féminin supérieur à la moyenne (Air France et Legrand)

Peut-être que l'adoption d'une loi telle que la loi Copé-Zimmermann changerait significativement les choses. En effet, cette loi impose aux entreprises publiques et aux sociétés côtées en bourse de féminiser davantage leurs Conseils d'administration et de surveillance. Aujourd'hui, elles représentent presque 21%. Malheureusement, le manque de corrélation entre le taux de femmes présentes aux Conseils d'Administration et aux Comités de Direction révèle qu'il ne s'agit pas là d'un facteur de promotion des femmes dans les hautes instances de direction.
Par contre, il existe bien une corrélation entre le pourcentage de femmes présentes dans le Comité de Direction et le taux de femmes dans l'encadrement ce qui révèle une réelle volonté de la part de l'entreprise d'utiliser leur population de femmes cadres pour féminiser leurs Comités de Direction.
  • Un grand bravo aux entreprises "féminines" telles que Hermès, L'Oréal, Kering, Sanofi, Société Générale, Accor, Sodexo, Unibail, Danone, Publicis Groupe, Endered, Natixis, Essilor International et France Telecom.

Comment y remédier ?

En prenant connaissance des mesures mises en oeuvre dans la société pour faire progresser la mixité :
  1. Communiquer davantage sur les indicateurs de mixité existant dans l'entreprise (la proportion de femme recevant une promotion, leur participation à des programmes de développement des compétences de leadership,...)
  2. Plus de transparence sur l'engagement de la Direction Générale concernant la mise en place de différentes mesures
  3. Favoriser la progression professionnelle des femmes en adaptant les trajectoires de carrière à priori conçues pour des hommes.

Comment faire bonne impression lors de mon entretien d'embauche ?


  1. Ma tenue vestimentaire - Elle doit correspondre aux codes en vigueur dans l'entreprise, ni trop, ni trop peu. Cependant, s'il s'agit d'une entreprise où les tenues sont plutôt casuals, je me présente tout de même en tailleur pour mon entretien.
  2. Le style "entretien d'embauche" - On ne fait pas d'impair dans le choix des vêtements. Le tailleur jupe est mieux noté dans les sondages, il confère aux femmes qui le portent plus de qualités. Je choisis des couleurs sombres et surtout pas de pièces transparentes. Je porte de petits talons et un sac à main de taille raisonnable.
  3. Ponctualité - Je me familiarise avec l'itinéraire et je repère les lieux avant si cela m'est possible pour arriver à l'heure. J'arrive avec une dizaine de minutes d'avance afin de souffler, déstresser, et arriver sereinement à mon entretien. Pas de respiration haletante, ni de transpiration gênante.
  4. Mon attitude - Je fais attention à ce que je dis et ce que je fais dès mon entrée dans la rue de mon lieu de rendez-vous. L'accueil, l'ascenseur, la salle d'attente sont autant de lieu où je suis susceptible de rencontrer des personnes influentes, voir mon interlocuteur. Debout ou assise, je me tiens droite, je suis souriante, avenante, et j'offre une poignée de main ni trop molle, ni trop ferme.
  5. Ma prise de parole - Je présente mon parcours avec une voix posée et assurée. Mon discours doit être cohérent et le résultat d'un entraînement sérieux de ma présentation. Je connais parfaitement mon CV (depuis mon parcours scolaire à mes centres d'intérêt), mes compétences, mes objectifs et souhaits de carrière. A l'issue de l'entretien, j'ai montré que j'ai une vision assez précise de ce que je veux pour moi et mon avenir.

mercredi 11 juin 2014

La Communication, le ciment du couple ?


Quand j'avais 15 ans, j'ai lu dans mon magazine que le ciment du couple était la communication. Je rêvais alors d'être la petite amie idéale, et je lisais donc attentivement tout ce qui me permettrait de le devenir. J'ai lu avec attention l'article et noté que rien n'était insurmontable tant que la communication régnait dans le couple.
Aujourd'hui, après 16 ans de relation et trois enfants, je ne comprends pas comment la communication peut être garante du maintien harmonieux d'un couple. Ou on ne sait pas communiquer ? ou comment faire ? ou quoi dire ? ou comment le dire ? Enfin, de toute évidence quelque chose d'important nous a échappé.
  • Comment faire quand le début d'une conversation qui se voulait adulte et courtoise se transforme en pugilat et règlement de comptes ?
  • Et comment faire quand ce qui paraissait vu et réglé ne l'est finalement pas du tout ?
  • Et comment faire pour dire les choses sans qu'elles soient gravées dans le marbre et ne blessent l'autre à jamais ?
Je crois qu'il y a un moment où on doit accepter ce que l'on est devenu et tirer un trait définitif sur ce qu'on était
Je ne sais pas si c'est mieux de se rencontrer à 20, 30 ou 40 ans, mais l'expérience de la vie, les gens, les enfants, nous changent, et de la même manière qu'on doit sans cesse accepter de jouer avec les cartes que nous distribue le destin, on doit accepter le changement chez soi et chez l'autre, si on tient à la survie du couple.
Alors oui, la communication est le ciment du couple, avec l'acceptation et le pardon. Le changement est flippant mais pas mauvais, c'est juste différent.

lundi 2 juin 2014

Où sortir quand on a passé 30 ans ?


J'ai 34 ans, je suis maman de 3 enfants, et depuis ces (6) dernières années, toutes mes soirées se ressemblent (semaine, weekend et jours fériés). Il y a bien quelques événements ci et là qui nous permettent de prétendre que ce soir "on sort", mais quand on est accompagné de ses enfants, et du bébé, et du sac à langer, et des doudous,... la "soirée" perd tout de suite ses strass et ses paillettes. Ça ne nous empêche pas pour autant de passer un bon moment, puisqu'on retrouve très souvent des amis affublés des mêmes valises.
C'est pourquoi avec mes copines on se voit une fois par mois, sans hommes ni enfants. C'est une vraie soupape pour celles qui parviennent à se libérer. En fait, la difficulté est de trouver quoi faire ? et où se rendre ?

Choix 1 - le restaurant : c'est le choix le plus sûr et le plus simple. On s'entend parler, c'est quelqu'un d'autre qui cuisine, et le vin aide à délier les langues et se détendre.
Mais pour la réservation, mieux vaut si prendre à l'avance si on veut dîner dans un coin sympa, les bonnes tables sont très vite prises d'assaut.

Choix 2 - le bar : option dansant ou non est une bonne alternative quand on ne peut pas sortir avant 20h parce qu'il faut faire manger les enfants et les mettre au lit, et qu'on a soit même pris l'habitude de manger à 19h. L'alcool et la piste de danse permettent une décompression complète et, comme on ne prévoit pas de partir à 3h du matin parce qu'on doit penser aux petits bouts qui viendront nous réveiller à 6h du matin comme chaque jour que Dieu fait, on est sûre de pouvoir profiter quasi seule de la piste de danse qui ne sera prise d'assaut qu'après minuit.
Malheureusement ce choix limite considérablement les possibilités de discussion avec ses congénères. Mais ça fait vraiment beaucoup de bien de bouger son "booty" sur le dancefloor, on sent ses articulations se déverrouiller.

Choix 3 - le "one-man-show" : le rire étant la première solution contre le stress et la déprime, on est sûr de tout laisser derrière soi durant l'heure et demie passée à rire. Les possibilités de discuter pendant le spectacle sont très faibles, mais largement récupérées à la sortie du spectacle.
Seule contrainte, déléguer à son homme tout le rituel du coucher si on veut être à l'heure.

Choix 4 - A domicile : ce choix offre de nombreux avantages et inconvénients. D'abord, pas de limite de temps. On se retrouve dans un environnement que l'on connaît, on prend très vite ses aises et on se comporte comme à la maison. Le confort est si bon, qu'on ne cesse de discuter sans voir le temps passer.
Mais l'hôtesse doit se préparer à recevoir, et doit inviter son homme à passer la soirée, voir une partie de la nuit, ailleurs (ce qui en réalité n'est pas nécessairement une contrainte pour lui), et demander aux enfants d'être assez gentil pour limiter leurs allers-retours à seulement 10.

D'autres choix s'offrent à nous, il faut juste faire preuve de créativité (karting, bowling, laser quest, expositions...) mais a raison d'une soirée par mois, soit douze sorties par an, ce n'est pas difficile de trouver à s'occuper.

mercredi 14 mai 2014

Comment faire rentrer le printemps dans ma maison ?


J'ai retrouvé des photos de mon appartement datant d'il y a quelques années. Tout cet espace libre, et les couloirs vides, j'avais oublié cette décoration involontairement minimaliste. C'est incroyable tout ce qu'on accumule au fil du temps comme affaires et comme mobilier, et comme fatras (les enfants y participent beaucoup). Pour ma part, quand je m'attaque au rangement, j'ai l'impression de tourner en rond et de procéder aux mêmes gestes encore et encore, comme l'histoire sans fin. Mais le printemps est là, et avec l'arrivée du beau temps, et des journées plus longues, on se sent comme un papillon quittant sa chrysalide. On veut sortir de notre cocon trop étroit, s'étirer de tout son long et respirer l'air à plein poumon. On veut se sentir libre et à l'aise chez soi. Je vais donc commencer par...

  1. ... trier, puis débarrasser, et enfin ranger. Une pièce après l'autre, muni d'un stylo et d'un calepin, je fais un tour complet et prends une décision pour chaque chose que je rencontre :
    • je garde : je passe à l'objet suivant
    • je donne : je le mets immédiatement dans un sac ou un carton pour son prochain destinataire
    • je jette : poubelle ou recyclage
    • je répare : immédiatement si c'est possible ou je le mets dans un carton pour plus tard
  2. pour le ménage, je liste pour chaque pièce tout ce qui doit être fait et à quelle fréquence.
    • chambre parents, chambre enfants, salle de bain, wc, cuisine, séjour,...
    • quotidiennement, par semaine, par mois, tous les semestres, par an
  3. pour la décoration, et selon mon budget, je la change de façon plus ou moins sophistiquée.
    • pour les chambres, je pense à de nouvelles parures de lit, tapis, tableaux, rideaux, photos encadrées...
    • pour le séjour, je peux changer les meubles de place en repensant l'espace (coin bureau/informatique, coin salon, coin salle à manger, coin jeux pour les enfants,...), ajouter des lampes ci et là, des plantes, des coussins...
    • pour la cuisine, je peux repeindre le mobilier, coller des stickers de faux carrelages, ajouter des tableaux, des petites jardinières d'herbes aromatiques,....
Et bien entendu, je fais tout ça en famille parce qu'en plus de l'aide qu'ils vont m'apporter, le cocon familial ne peut être préservé que si chacun y trouve sa place. Et pour y parvenir, chacun doit participer, à sa mesure, à l'établissement de ce cocon.

mardi 1 avril 2014

Où trouver la motivation de réussir ?


Steve Jobs a dit :"Votre temps est limité, ne le gâchez pas en menant une existence qui n'est pas la vôtre. Ne vous laissez pas prendre au piège du dogme - qui consiste à vivre avec les conséquences des idées des autres. Ne laissez pas le bruit des opinions d'autrui couvrir votre voix intérieure. Et surtout, ayez le courage d'écouter votre cœur et votre intuition. Tout le reste est secondaire."
C'est juste, c'est censé, et ça parait simple. Et pourtant c'est si compliqué !

Personne ne manque de motivation, il suffit d'ouvrir les yeux et les oreilles, elle est tout autour de nous. A la télévision, dans nos lectures, dans notre entourage,... nous sommes inondées de bonnes paroles et d'exemples de réussites. Nous sommes touchés, et ce que nous entendons et voyons provoquent en nous un écho. Mais finalement très peu en ressort et nos nouvelles résolutions qui en découlent fondent très rapidement comme neige au soleil. Alors pourquoi ? Pourquoi se contenter de subir sa vie au lieu de la vivre pleinement ?

Finalement, le plus compliqué n'est peut-être pas de trouver la motivation, mais de la maintenir.
Pour de vrai, dans les faits, ça aussi c'est pas très compliqué.

  • on peut, chaque matin, en se regardant dans le miroir, se répéter qu'on est la meilleure et qu'on va tout gagner,
  • on peut, penser à un mot ou à une personne que l'on admire à chaque fois que l'on se trouve en difficulté,
  • on peut, adopter une posture de conquérante : le dos droit, la tête haute, la voix claire et posée,
  • et à la fin de la journée, faire le point en notant sur un carnet trois choses que l'on a fait et dont on est fière.
Répétons-le et acceptons-le, la perfection n'est pas de ce monde, mais avec un peu de volonté et de courage, on peut atteindre le meilleur de soi, en tout cas juste assez pour répondre "ABSOLUMENT" à la question : "Êtes-vous satisfaite de votre vie ?"

lundi 10 février 2014

Pourquoi faut-il prendre soin de son couple ?



  1. Pour être heureux - Si je suis bien chez moi, je suis bien partout. Un couple qui repose sur un socle parfaitement cimenté se sent fort et paré pour gérer et vaincre ensemble les difficultés de la vie. Nous sommes ensemble contre tous.
  2. Pour la santé - Dans un couple heureux, le bonheur qui nous transporte favorise une meilleure santé en renforçant notre système immunitaire. Une meilleure gestion du stress nous rend moins vulnérable à attraper certaines maladies.
  3. Pour les enfants - Les enfants qui grandissent au sein d'une union heureuse sont épanouis et en bonne santé, contrairement à ceux qui sont soumis à un stress biologique extrême en raison des conflits existant entre leur parent. Ces derniers sont plus sujets à l'absentéisme et à l'échec scolaire, à la dépression, et montrent des problèmes d'insertion et de comportements, notamment d'agressivité.
  4. Pour le nourrir - Une relation de couple n'est pas acquise. Il nous faut en prendre soin, le choyer, le nourrir. Nous devons faire des efforts constants pour conserver ce joyau et le rendre imperméable aux aléas de la vie. Le couple doit être un refuge.
  5. Pour l'amitié - Le socle cimenté d'un couple heureux est constitué d'un profond respect à l'égard de l'autre, d'une complicité infaillible, et d'une connaissance irréprochable de son partenaire. Un amour sincère et passionné, et une amitié inébranlable sont le secret d'un couple heureux.

jeudi 16 janvier 2014

Comment mettre un enfant au lit ?



  1. Anticiper avec plaisir - Pour minimiser l'angoisse de la séparation, je joue avec mon enfant avant de le prévenir qu'il ira au lit dans 30 minutes.
  2. Transférer l'autorité sur un objet neutre - Je fais sonner le minuteur une heure avant le coucher, puis toutes les 15 minutes. Cela permet à mon enfant de prendre conscience du temps dont il dispose pour jouer, se préparer à se mettre au lit, et le temps de l'histoire avant de s'endormir.
  3. Suivre une routine - Pour renforcer le sentiment de sécurité de mon enfant, et l'aider à avoir des repères, les préparatifs du coucher sont toujours les mêmes, dans le même ordre, et toujours à la même heure.
  4. Préparer l'environnement - Comme ils précèdent le coucher, les préparatifs doivent se faire dans un environnement calme, intime et propice à l'endormissement.
  5. Ne pas me laisser embobiner - Je raccompagne mon enfant dans son lit à chaque fois qu'il tente de me rejoindre, je ne rallonge pas le rituel du coucher, et je m'assure qu'il a tout ce qu'il lui faut pour se sentir en sécurité (doudou, veilleuse, musique douce,...).

lundi 6 janvier 2014

Comment améliorer mon anglais ?



  1. Compréhension écrite - Je lis la presse anglaise du type Vocable, TIME,... tout en anglais ou traduit partiellement en français.
  2. Compréhension orale - Je visualise des films ou des séries en VO. Je regarde le journal TV de la BBC ou d'autres émissions anglo-saxonnes sur les chaînes de la box.
  3. Entraînement orale - Je m'exerce à traduire à voix haute ce que j'entends ou ce que je lis tel un traducteur. Je participe à des forums spécialisés pour m'entraîner à la conversation.
  4. La méthode scolaire - Je m'offre une méthode d'apprentissage efficace.
  5. L'anglais sur internet - Je me rends sur les sites BBC learning english ou VOA news qui offre un panel relativement complet de ce dont j'ai besoin pour m'améliorer.